top of page

Monsieur Simon LECLEIR

Lecleir-2.png

Ce nouveau professeur à Mater Dei a aimablement répondu aux questions
d'Amandine et de Shahina. Leurs échanges revus par l'intéressé et
rassemblés ci-contre :


Monsieur Lecleir donne cours de mathématiques (en 2ème) et d’économie
2ème, 4ème, 5ème et 6ème).


Avant Mater Dei ? 
•    Bachelier en sciences économique et de gestion
(Université Saint-Louis de Bruxelles)
•    Master en Sciences de gestion
(Université Catholique de Louvain) 
•    Agrégation en Sciences économiques
(Université Libre de Bruxelles)

(Je suis ouvert à répondre aux questions des rhétos
qui aimeraient s’informer sur les études en Economie/Management.
--> simon.lecleir@materdei365.com)

 
MT : Pourquoi êtes-vous devenu professeur ?

Simon Lecleir : Je n’ai jamais eu directement l’intention de devenir professeur. Mon parcours universitaire, mêlé à mon expérience dans le scoutisme, m’a donné envie de m’orienter vers l’éducation. Cela s’est fait progressivement et naturellement. 


MT :  Est-ce qu’être professeur était ce que vous vouliez faire plus tard ?
SL : Non, depuis tout petit jusqu’à ma 4ème secondaire, je voulais devenir pharmacien. Je suivais l’option sciences / mathématiques. Donc je dois dire que devenir professeur ne faisait pas du tout partie de mes plans.


MT : Pourquoi avez-vous choisi de venir enseigner à Mater Dei ?
SL : Après avoir réussi mon agrégation à l’ULB, j’ai décidé de directement postuler dans des écoles secondaires de la région bruxelloise. Pour une question de facilité étant bruxellois. Je ne vais pas vous cacher que Mater Dei était l’une de mes préférées : son projet éducatif et son infrastructure me plaisaient réellement. J’étais donc très content quand j’ai reçu mon feu vert de la part de la direction.  


MT : Aimez-vous le fonctionnement de Mater Dei ?
SL : J’adore vraiment ce Lycée. Il y a une bienveillance réciproque entre les élèves et les professeurs, ce qui me plait beaucoup. C’est également une école à taille humaine ce qui permet (après quelques années) de pouvoir connaitre tous les élèves. C’est essentiel pour instaurer un climat de convivialité. 
J’ai la chance d’avoir une diversité de classe très intéressante, j’enseigne en 2, 4, 5 et 6. C’est relativement assez plaisant de pouvoir adapter sa manière d’enseigner à son «public cible» (comme on dirait en économie).

 

MT : Trouvez-vous qu'à Mater Dei il y a une bonne ambiance ?
SL : C’est difficile d’arriver en pleine pandémie et de juger l’ambiance du Lycée durant cette période. Cependant, je ne suis dupe, je vois très bien que Mater Dei possède un potentiel «ambiance» énorme. Je suis curieux de découvrir son plein potentiel une fois que la pandémie sera officiellement derrière nous (l’année prochaine, j’espère !!!).

 

MT : Avez-vous déjà enseigné dans une autre école Mater Dei ? 
SL :  Étant fraichement diplômé de l’université l’an dernier, je n’ai donc naturellement pas pu enseigner dans d’autres écoles. Cependant, j’ai réalisé mon stage au Collège Saint-Pierre de Jette (mon école secondaire). Cela m’a donné envie de continuer dans cette direction.

 


 

Lecleir.png

MT : Quel options avez-vous choisis en étant adolescent ?
SL : Alors, au début de mes secondaires, je suivais l’option
Sciences/Mathématiques de ma 2ème à ma 4ème. Ensuite, je me suis dirigé en

Sciences économiques/Mathématiques pour terminer mes secondaires

(en 5ème et 6ème). Les mathématiques étaient donc omniprésentes dans mon cursus et, avec du recul, je dois dire que c’est relativement important («  big up » à ma 2E).

MT :  Arrivez-vous à rester organisé avec la pandémie ?
SL : J’ai terminé mon cursus universitaire dans ce climat de pandémie. 
Je  sais donc parfaitement ce que nos élèves vivent pour le moment. J’essaie donc d’intégrer cette expérience dans la manière dont j’élabore l’hybridation de mes cours. Mon objectif est de rendre mon cours le plus « digeste » possible pour mes élèves. Je pense être bien organisé et je dois dire que mes élèves le sont également.

Je suis fier de la manière dont ils gèrent cette situation assez compliquée pour eux.

MT :  Quels sont vos hobbies ?
SL : J’ai beaucoup d’hobbies. D’abord, le scoutisme est une de mes
passions. J’ai intégré les mouvements de jeunesse à l’âge de 10 ans
et je n’ai plus arrêté depuis. A 17 ans, je suis devenu animateur et

j’ai continué à animer pendant 7 ans. J’ai eu la chance d’avoir pu

le faire dans chacune des 4 « sections » (allant de 5 à 17 ans).

Aujourd’hui, je suis encore impliqué dans mon Unité puisque je suis

animateur d’Unité (je suis en quelque sorte animateur des animateurs).
Mon totem : Colféo (un renard de la Cordillère des Andes)
               (A 18 ans)

Je fais aussi énormément de sport. Le foot, c’est ma deuxième passion. Même si je ne joue plus en club aujourd’hui, j’en joue encore régulièrement avec des amis. Position préférée : Right Back. (Pronostic perso : City remporte la LdC 2021).
Sinon j’aime beaucoup le padel, le tennis et la course à pied. Je cours beaucoup. D’ailleurs, s’il y a des amateurs, je ne suis pas contre créer une team Mater Dei pour participer aux 20km de Bruxelles.

 

MT : Aimez-vous votre métier professeur ?
SL : Oui, j’aime beaucoup enseigner. J’ai toujours dit : dans ton métier, lorsque tu ne vois pas le temps passer, c’est que tu es au bon endroit. Et je dois dire que, pour le moment, je ne vois pas le temps passer ;) 

Lecleir-3.png
bottom of page